Chapitre précédent : 14. Le jeune : droit au respect, à l'intégrité physique et droit de grandir à son rythme




15. La visite médicale scolaire et la loi


Loi belge sur la visite médicale scolaire obligatoire : Article 7 de la loi du 21 mars, on
peut voir que les conclusions de l'inspection médicale ne sont communiquée au jeune que
s'il a 18 ans.
Avant, il n'est absolument pas concerné.
Tout a été mis en place pour que le jeune soit traité comme un animal sans capacité de
réflexion.

Je suis convaincu que des victimes en sursis de syndrome post traumatique dû a la visite
médicale scolaire, il y en a beaucoup plus que l'on ne pense, et nous ne sommes que le
sommet de l'iceberg.
Le médecin peut se comporter dès lors officiellement et légalement pour l'état comme des
vétérinaires.
Quand j'ai évoqué cela à un collègue proche, il est monté immédiatement en colère, c'est
l'auteur du 2 ième témoignage.

Les avenants de cette loi : Ne parle que de détails administratifs, de nominations, de
détails d'organisation, mais jamais d'éthique médicale...
On ne fait nulle part mention :

Du devoir de respect aux enfants
De la déontologie médicale
Du risque de traumatisme qu'ils vont générer chez certains.
Le nouvel avenant fait comme si la visite médicale scolaire est parfaite, et qu'ils ne font
pas de "bavures "

Dans la mesure où il y a plus dégâts que d'effets positifs pour l'enfant, le principe de
précaution, il vaut mieux supprimer la médecine scolaire obligatoire.

Les responsables de centres de santé scolaire se défendent avec certaines
argumentations de leur utilité, dans le but de protéger leurs emplois et leur fonction mais,
ils sont embourbés souvent dans de vieilles mauvaises habitudes.
Rarement ils se remettent en cause concernant parfois, leur comportements de
"vétérinaires ". Pourtant à l'origine de mal vécus et de traumatismes.

Pour la loi Française et Belge, c'est la présentation de l'enfant dans un centre agréé qui
est obligatoire
.
L'enfant ou le parent peut refuser tout ou une partie, de n'importe quel examen même se
déshabiller.

Si l'enfant, le jeune estime avoir mal vécu certains examens ou avoir été abusé, Même
contre l'avis de ses parents, dès l'âge de 18 ans, il peut porter plainte au procureur
de la république en France jusque l'âge de 38 ans
Au procureur du Roi en Belgique jusque l'âge de 33 ans.

Par la même occasion il pourra y exposer ses frais, s'il a du suivre une thérapie
psychologique même si ce sont ses parents qui ont payé ces thérapies.